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Quels luminaires pour son bureau ?

bureau

Déjà que l’on passe la majeure partie de son temps à son travail autant rendre son poste de travail joli et surtout confortable. Et donc joindre l’utile à l’agréable comme on dit.

Après avoir choisi soigneusement la forme, la taille de son bureau ainsi que la chaise adéquate (étape très importante pour ne pas avoir mal au dos), le choix des luminaires joue une étape incontournable pour éviter un mal de tête en fin de journée et sur le long terme une baisse significative de la vue.

La règle de base

Uniformité de l’éclairement

Un équilibre des luminances pour éviter éblouissement

Un éclairage mal réglé entraine en fin de journée fatigue et irritation. Un certain confort visuel permet de limiter les erreurs et accidents et une meilleure concentration.

205 lux (unité de mesure pour le flux lumineux) est le minimum pour un éclairage de bureau, 500 lux est le maximum pour le respect du confort du travailleur. En hiver en fin de journée, à la tombée de la nuit, une lampe d’appoint avec un bras articulé dirigé vers l’écran ou vers la zone de travail est très utile, maniable selon les besoins, permettant de rehausser les luminaires et de rebooster la vue. Le 9 watts suffit largement pour une lampe d’appoint.

L’éclairage naturel reste le plus apprécié, il existe une corrélation entre lumière naturelle et l’humeur quotidienne des travailleurs. Plus les rayons du soleil pénètrent dans le bureau et moins les travailleurs sont d’humeur morose. Un conseil placer son bureau au maximum près d’une fenêtre, de côté si possible pour ne pas que la lumière naturelle ne reflète sur l’écran, effets très déstabilisants.

Pour un confort optimal : l’éclairage doit être direct et indirect

L’éclairage direct provient du plafond via les néons, les spots ou encore les plafonniers, les luminaires indirects sont quant à eux des lampadaires, appliques murales ou des lampes de bureaux maniables.

Ne pas oublier une des règles d’or pour un confort optimal : varier les différentes sources de lumière, un éclairage de mauvaise qualité altère la concentration du travailleur qui se sent agressé en fin de journée donc entache sa productivité.

La médecine du travail préconise un éclairage chaud (oubliez le blanc). A noter également que le besoin d’éclairage augmente avec les années, à 60 ans on a besoin de deux fois plus de lumière qu’une personne de 45 ans.

Et vous, votre bureau, il est éclairé comment ?